La phase initiale a consisté à établir l'entreprise et à entreprendre l'exploration dans le Bloc Joint Oil par autofinancement. Cela a marqué le début de la mise en place administrative de l'entreprise, en tirant parti de ses propres capacités techniques et financières. Pendant cette période, l'entreprise a compilé une base de données d'informations techniques à la fois à l'intérieur et dans les environs du bloc, elle a également effectué des relevés sismiques et a généré des études pertinentes.
Les évaluations techniques ont identifié diverses structures géologiques, conduisant à la sélection de zones potentielles prometteuses où des cibles et des perspectives ont été cartographiées. Un programme de travail complet a été approuvé, et des plans ont été établis pour forer le premier puits dans un potentiel important d'ici la seconde moitié de 1992. Le financement de cette initiative a été directement assuré par les deux propriétaires.
En 1993, un changement s'est opéré du principe de l'autofinancement à la formation d'un partenariat avec un investisseur étranger, qui supporterait les risques à toutes les étapes de l'activité. Cette décision stratégique a été approuvée par le Comité supérieur conjoint (libyen/tunisien). La phase a perduré jusqu'en 1995, marquant le début de la recherche d'un partenaire.
La deuxième phase a marqué le lancement du premier Contrat de Partage de Production et d'Exploration (EPSA) pour Joint Oil.
Conclu le 1er février 01/02/1997 avec "Nimir Petroleum North Africa Company Limited" et "PETRONAS CARIGALI", l'accord est entré en vigueur le 05/05/1997.
Malgré des études techniques approfondies et des sondages sismiques (2D - 1585 km² et 3D - 670 km²), les efforts de forage de Nimir Petroleum Company entre 1999 et 2002 ont abouti à trois puits exploratoires secs avec des indices d'hydrocarbures. (El Amel South - de 1 d'Aaoût à oOctobre 1999 ; Besma-1 de jJanvier à Aavril 2002 ; El Amel North - du mois d1 d'Aavril à jJuillet 2002).
La troisième phase a débuté avec la signature de deux accords le 27 août 2008 entre Joint Oil et une société canadienne, Sonde Resources Corp. Le premier accord concernait un accord de partage de production et d'exploration ("Bloc Joint Oil"), tandis que le second était un accord d'échange lié à la licence marine de la société canadienne "Mariner".
Le puits d'évaluation "Zarat North-1", la première découverte commerciale sur le bloc, a été foré et testé de novembre 2010 à janvier 2011, produisant 625 barils de pétrole et 12 millions de pieds cubes de gaz par jour. Les dépenses accumulées par SONDE se sont élevées à 52 millions USD. L'entreprise a fait faillite et est sortie de l'accord en 2015.
La quatrième phase consiste à préparer la commercialisation du bloc Joint Oil (comprenant des opportunités d'exploration et de développement) à travers Joint Oil, avec une collaboration interne et une coordination avec les deux propriétaires.
Le puits d'évaluation "Zarat North-1", la première découverte commerciale sur le bloc, a été foré et testé de novembre 2010 à janvier 2011, produisant 625 barils de pétrole et 12 millions de pieds cubes de gaz par jour. Les dépenses accumulées par SONDE se sont élevées à 52 millions USD. L'entreprise a fait faillite et est sortie de l'accord en 2015.
La quatrième étape consiste à préparer la commercialisation du Bloc Pétrolier Commun (comprenant des Opportunités d’Exploration et de Développement) par l’intermédiaire de Joint Oil, avec une collaboration et une coordination internes avec les deux propriétaires.
Le 22 décembre 2022, Suite à la recommandation de l'Assemblée Générale, le bloc Joint Oil et la découverte de Zarat seront commercialisés via Joint Oil en coopération et coordination avec les deux propriétaires, ETAP et OLA.
Le 13 avril 2023, le Conseil d'Administration de Joint Oil a émis la Résolution n°201/2023, autorisant Joint Oil à commercialiser le bloc Joint Oil et la découverte de Zarat, en coopération et coordination avec les deux propriétaires, ETAP et OLA.